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    Située dans l'aire urbaine de Clermont-Ferrand, la commune de Saint-Saturnin est située à 15 km au sud de Clermont-Ferrand, dans la vallée de la rivière la Monnequi, plus bas, se jette dans la Veyre.

    Jusqu'en mars 2015, la commune faisait partie du canton de Saint-Amant-Tallende ; à la suite du redécoupage des cantons du département, la commune est rattachée au canton d'Orcines.

     

    La mairie

     

    Le château.

     

     

    Fontaine du XVI eme siècle.

     

    La porte des boucheries.

     

     

    Saint-Saturnin fut la résidence des barons de la Tour d'Auvergne, qui devinrent comtes d'Auvergne. C'est de cette famille dont est issue Catherine de Médicis, fille de Laurent II de Médicis et de Madeleine de la Tour d'Auvergne. Elle devint reine de France après son mariage avec Henri II.

     

     

    Madeleine de la Tour d'Auvergne.

    Mère de Catherine de Médicis.

     

    Eglise Notre dame de saint Saturnin.

     

     

     


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    Sare est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en  région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, à la frontière avec l'Espagne. Elle est adossée à la chaîne pyrénéenne, qui forme autour du bassin occupé par le bourg un cirque ouvert vers l'est et le nord.

    La commune recèle un habitat ancien, dont certaines, parmi les 283 maisons recensées à la fin du xxe siècle, datent partiellement du xve siècle. L'architecture traditionnelle de ces édifices, leur décoration extérieure et leur orientation définissent l'archétype de la maison labourdine rurale tel qu'il existe dans l'imagerie populaire sous le vocable de « maison basque ».

     

     La maison Ihalare

    Sare possède un patrimoine naturel sauvage ou semi-sauvage, encadré par des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique, ou protégé par des réglementations nationales ou régionales.

     

    la mairie.

     

     

    La localité a accueilli des personnalités marquantes, soit issues du village, soit telles qu'Axular, considéré comme le premier prosateur de langue basque, ou bien Napoléon IIIou Édouard VII, attirés par les paysages et les grottes, ou par les démonstrations de pelote basque. La localité, qui a fait l'objet d'une étude approfondie de la part de José Miguel de Barandiarán, a, sous le nom d'Etchezar, également servi de modèle à Pierre Loti, pour figurer le village de Ramuntcho.

     

     le Zuhalmendi au Nord Ouest.

     

     


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    Parfois nous allons passer une journée à Ciboure, près de saint Jean de Luz.

    Ciboure partage avec Saint-Jean-de-Luz la Baie de Socoa, sur le Golfe de Gascogne, les deux villes formant la même agglomération.
    L'entrée de la Baie de Socoa, encadrée par les phares de la Pointe Sainte-Barbe et de Socoa, était défendue par le Fort de Socoa, construit sous Louis XIII et remanié par Vauban.

     

    Fort de Socoa

     Sœur jumelle de Saint-Jean-de-Luz, Ciboure était à l’origine un quartier d’Urrugne. Au XVIIème siècle fut construit le Fort de Socoa par Vauban, pour protéger l’entrée du port des tentatives d’invasions espagnoles. Le bourg en profita pour devenir une commune à part entière.
     Asseyez-vous au bord de la "vieille fontaine" construite en 1676, avant d’aller découvrir le gardien de la cité, le fort de Socoa ; cette énorme tour circulaire abrite aujourd’hui… un centre nautique.

     

     

    Maison de Ravel

    C’est aujourd’hui un charmant port de pêche et de plaisance qui cache de superbes maisons dans ses rues sinueuses. Promenez-vous dans ses artères, le long de ses quais, peut-être entendrez-vous parmi le chant des mouettes, le murmure du "Boléro" deRavel, l’enfant du pays.

     

     

     

     
    Il faut faire une halte à l’église Saint Vincent, édifice du XVIème siècle, construit en "pagode" avec son clocher octogonal.
     

    La chaire de l'église.

     

    L'autel de l'église.

     

     


  • La propriété de Longwood est située sur une plaine exposée au vent à 6 km de Jamestown, la ville de l'île. Anciennement résidence d'été du Lieutenant-Gouverneur de l'île, elle fut réservée à l'usage de l'Empereur en 1815. Le gouvernement britannique reconnaissait qu'elle était inadéquate pour être la résidence de l'ancien empereur et son entourage, et au moment de sa mort venait de construire une nouvelle maison à proximité, New Longwood, mais que Napoléon n'occupa jamais.

     

     

     

    Quand la première pierre fut posée sous son nez en début octobre 1818, alors que son médecin lui avait été retiré et qu'il était encore souffrant, Napoléon jugea sans doute qu'il lui fallait de nouveau "entrer en campagne" contre les autorités anglaises, son adversaire de toujours. On lui construisait une maison à une centaine de pas de chez lui? Alors lui allait leur montrer qu'il comptait bien "s'enraciner" dans son vieux Longwood et que l'on ne l'en délogerait pas, sauf par la force. Comment faire? Occuper le plus possible son "territoire" et fixer les limites d'un espace privé le plus grand possible. De plus, en restant sur place, il fallait bien aussi trouver une solution au vent et à la chaleur. Ainsi commença ce qui fut peut-être "la dernière campagne" de Napoléon, celle où il partit à la conquête de son indépendance vis à vis de ses geôliers envahissants, en marquant son terrain de liberté par des jardins tout autour de sa misérable bâtisse infestée par les rats et les cousins. De surcroît, voyant bien que son état de santé se détériorait, et se trouvant sans médecin par la force des choses, Napoléon avait dû décider que cette entreprise au grand air l'aiderait à se rétablir. 

     

     

     

     le pavillon des Briards.

     

     

     

    Saint-Denis, le mameluk Ali, raconte:

    Depuis longtemps, il s'était abstenu de toute excursion au-delà de l'enclos de Longwood, pour ne pas donner sujet au Gouverneur de lui faire éprouver de nouvelles vexations. Pour compenser un peu ce défaut d'exercice extérieur, il jugea que le jardinage était ce qui convenait le mieux à son état de réclusion. Dès lors, il ne fut plus question que de jardins: tout le corps de bâtiment qu'il habité en fut entouré. Ce furent les modèles de fortifications qui lui donnèrent cette idée, et puis il voulait avoir sous la main des fruits, des légumes; il voulait avoir quelques allées ombragées; il voulait éloigner les sentinelles de ses fenêtres, etc. (source: Souvenirs sur l'Empereur Napoléon)

     

     

     

     

     

     Lors de l'arrivée de Napoléon Ier à Sainte-Hélène, celui-ci résidera les premières semaines dans cette maison. Le pavillon était alors la propriété de William Balcombe, qui deviendra le fournisseur de l'empereur et des autres exilés français lors de leur séjour sur l'île. De nombreux épisodes sont relatés sur le séjour de Napoléon auprès de cette famille, notamment dans les mémoires de la fille cadette, Betsy Balcombe, plutôt espiègle. Le séjour de Napoléon aux Briars, d'octobre à décembre 1815, a probablement été une des périodes les moins désagréables de sa captivité.

     

    L'emplacement de la tombe de l'Empereur Napoléon 1er.

     

     

     Le jardin a repris sa configuration que lui avait donnée Napoléon. En revanche les environs ont changé, principalement du fait que l'éradication des chèvres sauvages et des rats sur l'île ont permis à la végétation tropicale de reconquérir les terrains qu'elle avait perdus au xixe siècle.

    En 2012, des travaux de rénovation sont lancés, cofinancés par l’État français et une souscription auprès du grand public menée par la Fondation Napoléon

    Pour en savoir plus allez ICI

     

     


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    Situé dans la petite ville de Woodstock à quelques kms d'Oxford, le chateau de style baroque anglais construit au début du XVIII eme siècle pour John Churchill, premier duc de Malborough, est implanté dans un parc paysagé de 800 hectares. Un immense lac bordé d'arbres enjambé par plusieurs ponts s'étend en contre bas.

     

     

     

    Après l'achèvement du palais, il est devenu la maison du Churchill, plus tard Spencer-Churchill, la famille pour les 300 prochaines années, et divers membres de la famille ont apporté des changements à l'intérieur, le parc et les jardins. A la fin du 19ème siècle, le palais a été sauvé de la ruine par des fonds tirés de la 9e duc de Marlborough de mariage ferroviaire héritière américaine Consuelo Vanderbilt . L'extérieur du palais reste en bon état.

     
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    Plusieurs promenades ont été aménagées qui permettent de profiter des installations de Lancelot Brown, notamment la Grande Cascade dont les eaux  serpentent sous les ponts et parmi la végétation.

     

    Aménagé  vers 1760 par le célèbre jardinier Lancelot Capability Brown,  que compte le Royaume uni.dont on fête le tricentenaire cette année,  c'est l'un des plus beaux jardins à l'anglaise que compte le Royaume Uni.

     

    En longeant la rivière en direction du château, on traverse un arboretum et un jardin des roses...

     

    Le palais reste la propriété des ducs de Malborough, le dernier titulaire est Charles Spencer Churchill, 12è duc de Malborough.

     

    Le Grand Pont de Vanbrugh, a été mis en scène par L.Brown de façon à ce que le promeneur a l'impression de parcourir la campagne anglaise.

    Pour en savoir plus, allez ICI.

     

     

     

     

     


  • Le jardin du fond de l'or.

    Niché au coeur du vignoble lugonnais, à Lugon-et-l'Île-du-Carnay, découvrir un havre de paix bercé par les murmures d’une source vagabonde surprend chaque visiteur...Jardin commencé en 1982 d'une surface de 2500 m² jusqu'en 2003, agrandi à cette date pour une surface de 8000m².

     

     

    Jardin de particuliers, à l'ambiance exotique, japonisante qui donne une sensation d'apaisement et de calme. Jardin s'étageant sur trois niveaux. Le fond de l'or, vallon boisé d'où dévale un ruisseau apportant fraicheur et humidité pour le bonheur de plantes à grand développement, tel gunnera manicata miscanthus. Sculptures sur tronc d'arbre réalisées à la tronçonneuse et nombreuses décorations, poterie, bois flottés peints.

     

    Le Jardin du fond de l’or, conçu et entretenu par le céramiste de formation Jacques Lubet, épaulé par sa compagne Babeth, est le résultat de vingt-cinq années d’un travail assidu dans un vallon de plus de 7000m2 où exotisme et plantes luxuriantes rivalisent.

     

     

    Le jardin a été sélectionné pour représenter l'Aquitaine

    lors de l'émission du jardin préféré des français 2014, son classement a été second sur les 22 régions.

     Pour en savoir plus allez ICI.

     

     

     

     


  • Peinte par Paul Cézanne.

    La montagne Sainte-Victoire, en occitan provençal Mont Venturi selon la norme classique ou Mount Ventùri selon la norme mistralienne, est un massif calcaire du Sud de la France, dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

    Située à l'est d'Aix-en-Provence, elle a connu une gloire internationale en partie grâce à la soixantaine d'œuvres du peintre Paul Cézanne dont elle est l'objet. Paradis des marcheurs, grimpeurs et amoureux de la nature, elle est un élément majeur du paysage aixois.

     

    Falaises calcaires du versant sud.

    En -102, alors que les Ambrons et les Teutons, d'origine germanique et scandinave, déferlent dans le Sud de la Gaule, menaçant la paix dans la toute nouvelle ville d'Aix et ses environs, les consuls romains Caius Marius et Quintus Catulus les affrontent et les repoussent à la bataille d'Aix, qui se déroule sur le piémont sud-est de la montagne Sainte-Victoire (plaine de Pourrières). D'où, selon certains, l'appellation par les Romains de montagne de la Victoire.

    Vue depuis saint-Marc-Jaumegarde.

    Une autre origine possible du nom est liée au caractère très venteux du sommet (vencturus en latin ; le nom provençal de la montagne en est proche : Venturi). La Sainte-Victoire (la « Sainte », comme l'appellent les Aixois) aurait dans ce cas la même origine toponymique que le mont Ventoux dans le Vaucluse.

     

    Entrée du Prieuré de sainte Victoire.

    Elle est sanctifiée au Moyen Âge par les Chrétiens pour devenir la Sainte-Venture. Une chapelle a d'ailleurs été construite à son sommet au XIIIe siècle. Ce n'est qu'au XIIIe siècle que la montagne a pris son nom actuel pour une raison encore imprécise. Certains pensent qu'il s'agissait de franciser le nom provençal

    Géologie : 

    La Sainte-Victoire, tout comme le massif de la Sainte-Baume, peut être considérée comme un cas particulier parmi les massifs alpins car les différentes étapes de la formation de son relief rattachent son histoire géologique aussi bien à celle de l'ancienne chaîne pyrénéo-provençale qu'à celle des Alpes occidentales lui ayant succédé.

    En effet, de l'ancienne montagne Sainte-Victoire, contemporaine des dinosaures du Crétacé, il ne reste aujourd'hui que le pli de Bimont, dit chaînon des Costes Chaudes, dernier vestige résultant des mouvements tectoniques et des empilements caractéristiques de la phase pyrénéo-provençale durant l'Éocène.

    Plus tardive durant l'Oligocène, la rupture du pli anticlinal de Sainte-Victoire, lequel résultait de la première surrection des grands reliefs alpins, est à l'origine d'un déferlement contribuant à expliquer la forme actuelle de la montagne, qui apparut 15 millions d'années avant notre ère.

    La Sainte-Victoire, dont les sédiments calcaires remontent au Jurassique, se compose donc à la fois d'un vestige pyrénéo-provençal et d'une géologie alpine. Cette singularité et cette ambivalence permettent de comprendre pourquoi, bien qu'étant un massif des Alpes occidentales, la problématique de ce rattachement reste complexe.

     

    Selon une étude récente, la Sainte-Victoire serait toujours en train de grandir. La société ME2i a en effet réalisé une étude par satellite entre 1993 et 2003 apportant une preuve que, durant cette période, l'extrémité occidentale de la montagne Sainte-Victoire a été en surrection de 7 mm par an.


    La montagne vue depuis Aix-en -Provence.

     

     


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    Ces très beaux jardins à la française en buis classés par les Monuments historiques, incitent à la promenade et entourent une superbe bastide du XVIIIe siècle. On y accède par une majestueuse allée de marronniers pour découvrir ensuite des parterres bien taillés, des terrasses, un véritable labyrinthe d'ifs et de buis cernant un bassin à l'ancienne.

     

    Une allée de chasse aux papillons, a été conservée. Le sous-sol du jardin est parcouru par un réseau de canalisations de plus de 2 km conçu à l'époque de la construction. Soigneusement entretenu, il alimente depuis plus de 300 ans les bassins du parc de la propriété.

     

     


    Belle demeure du XVIIIe siècle remaniée, propriété successive des de Lubières et des Arlatan de Lauris. Jardin à la française , fontaines et bassins, terrasses à l'italienne, labyrinthe de buis.. Un jeu savant de volumes, de façades les unes fortement ordonnancées, les autres nues, de terrasses et parterres, met en valeur le château, nettement détaché des bâtiments agricoles. En retrait, une petite chapelle encadrée d'orangeries. (NB : Servit de décor au film d'Yves Robert : "Le château de ma mère").


  • Ma jeunesse...

     

    J'ai passé une partie de ma jeunesse au bord  de ma méditerranée..dans un pays très ensoleillé.

    Quelques photos.

     

    Ma jeunesse...Me voici à 15 ans.

     

    Ma jeunesse...

    Moi à gauche à Aix en Provence - 1956

     

    Ma jeunesse...

     

    Ma jeunesse...

    Avec maman et une amie en 1956 - Aix en Provence.

     

    Ma jeunesse...

    l'été 1957.

     

    Ma jeunesse...

    Au lycée - je suis la 4ème à gauche, au premier rang.

     

    Ma jeunesse...

    Geneviève et moi - 1957. 

     

    Ma jeunesse...

    Avec la romancière Marcelle Davet et Jean François - 1960 - Albi.

     

    Ma jeunesse...

     

    Ma jeunesse...

     Vacances aux Sables d'Olonne - 1962. Un mois avant le mariage de Geneviève...

     

     

    Ma jeunesse...


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    Arnaga.

     

    Musée Edmond Rostand

    À l'écart de la ville, de cambo les bains, en direction de Larressore, se trouve la villa Arnaga. Il s'agit d'une vaste maison basque qu'Edmond Rostand fit construire, au prix de travaux énormes, par l'architecte Joseph-Albert Tournaire entre 1903 et 1906.

    Venu à Cambo-les-Bains pour soigner une pleurésie, il décida de s'y installer et y vécut de 1906 à 1918.

    C'est à Arnaga qu'il écrivit Chantecler.

    Le visiteur peut encore y lire sur une plaque à l'entrée de la villa le célèbre quatrain de bienvenue de Rostand :

    "Toi qui vient partager notre lumière blonde / et t'asseoir au festin des horizons changeants / n'entre qu'avec ton cœur, n'apporte rien du monde / et ne raconte pas ce que disent les gens".

     

    Arnaga.

     

    Arnaga est une des premières maisons de style "néo-basque". Rostand dessina et décora lui-même les 40 pièces de la villa, en divers styles (anglais pour le hall, chinois pour le fumoir, etc.). La peintre Clémentine-Hélène Dufau a peint en 1906 des panneaux décoratifs pour la bibliothèque (Les Cygnes noirs et Automne) ainsi que des médaillons dans l'escalier et quelques portraits dont celui du fils de Rostand Maurice Rostand sont visibles dans la villa.

     

    Arnaga.

    Anna de Noailles aimait lire et travailler dans le bureau-bibliothèque de style Premier Empire, que délaissait Rostand.

    La villa est entourée d'un grand jardin à la française, où deux pavillons encadrant une pergola inspiré du parc de palais de Schönbrunn à Vienne, se reflète dans une pièce d'eau. Rostand y recevait ses hôtes, dont les comédiens Sarah Bernhardt et Coquelin, du haut d'un balcon en déclamant des vers.

    La partie arrière comprend un jardin à l'anglaise.

    En 1960 la mairie acheta la villa pour en faire le musée Edmond-Rostand.

    À noter que Gérard Depardieu a fait don au musée de son César reçu en 1992 pour son interprétation dans Cyrano de Bergerac qui est présenté dans la bibliothèque, fermée par des grilles décoratives dues à des grands ferronniers d'art parisiens de l'époque, parents de Boris Vian.

    La villa a été classée comme monument historique en 1995 et le jardin porte le label jardin remarquable.

     

    Arnaga.

     

    Il est un petit garçon qui aimait bien se promener et jouer  le long de la rivière Arnaga au bas de la villa de Cambo. Déja intéressé par les grenouilles, têtards et autres batraciens aquatiques.
    Devenu adulte il deviendra un célèbre biologiste, écrivain scientifique. Académicien français en 1959. Beaucoup de collèges en France portent son nom.

     


    Ses parents sont Edmond Rostand et la poétesse Rosemonde Gérard. Son nom est Jean Rostand.