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    Pendant longtemps quand nous étions dans la région parisienne , nous avons habité près de Milly la Forêt.

    Milly-la-Forêt  est une commune française dans le département de l’Essonne.

    Village gaulois dès 285 av. J-C, lieu de naissance de Saint Wulfram vers l’an 640, le domaine fut ensuite offert aux seigneurs méritants par les rois de France. Ruinée par les anglais au xive siècle, elle fut rebâtie et fortifiée par Louis Malet de Graville au xve siècle, dotée d’une des plus importantes foires franciliennes.

    Centre agricole et commerçant, sur le passage de la route de Lyon jusqu’au xviiie siècle, elle perdit peu à peu de son intérêt à mesure que les axes routiers et ferroviaires s’en écartaient.

    Elle devint alors dès le milieu du xxe siècle un lieu de villégiature pour les parisiens et les artistes, dont Jean Cocteau et Christian Dior. C’est aujourd’hui un pôle touristique important du département, la capitale des herbes aromatiques, à l’environnement préservé entre province et agglomération parisienne.

     

    Milly la forêt.

    La halle du marché.

     

    Milly la forêt.

    La chapelle décorée par jean Cocteau.

     

    La chapelle saint Blaise des simples.

    A voir absolument la Chapelle Saint-Blaise-des-Simples du XIIe siècle à Milly la Forêt, dernier témoin de l’existence d’une maladrerie.
    Décorée par Jean Cocteau, dont elle est aussi le tombeau, elle est entourée d’un jardin botanique qui regroupe différentes plantes médicinales.

     

    la maison de jean Cocteau.

    La Maison Jean-Cocteau est un demeure-musée du xviiie siècle, de style Louis XIII, et un domaine de 2 hectares avec jardins, verger et parc boisé, labellisé « Maisons des Illustres » dans le village de Milly-la-Forêt dans l'Essonne.

    Elle a été le domaine du poète, artiste aux multiples talents, graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste Jean Cocteau (1889-1963), qui y a écrit une partie importante de son œuvre.

    La façade sur rue et la toiture correspondante ont été inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1969.

     

     

    Le lavoir.

     

    Le lavoir de la Bonde.

     Milly-la-Forêt et ses environs, au cœur du Parc naturel régional du Gâtinais français, regorgent de sites touristiques et de loisirs : miellerie du Gâtinais, le Cyclop, verrerie d’art de Soisy-sur-Ecole, conservatoire national des plantes, chapelle Saint-Blaise-des-Simples, domaine de Courances…Nous avons fait de belles balades à cette époque !

     

    Milly la forêt.

     

     


  • Parfois nous allons passer une journée à Ciboure, près de saint Jean de Luz.

    Ciboure est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Aquitaine.

    La commune fait partie de la province basque du Labourd et de l'Aire urbaine de Bayonne située dans son unité urbaine.

    Ciboure partage avec Saint-Jean-de-Luz la Baie de Socoa, sur le Golfe de Gascogne, les deux villes formant la même agglomération.

    L'entrée de la Baie de Socoa, encadrée par les phares de la Pointe Sainte-Barbe et de Socoa, était défendue par le Fort de Socoa, construit sous Louis XIII et remanié par Vauban.

     

    Le fort de SOCOA.

    Sœur jumelle de Saint-Jean-de-Luz, Ciboure était à l’origine un quartier d’Urrugne. Au XVIIème siècle fut construit le Fort de Socoa pour protéger l’entrée du port des tentatives d’invasions espagnoles. Le bourg en profita pour devenir une commune à part entière.

    C’est aujourd’hui un charmant port de pêche et de plaisance qui cache de superbes maisons dans ses rues sinueuses. Promenez-vous dans ses artères, le long de ses quais, peut-être entendrez-vous parmi le chant des mouettes, le murmure du "Boléro" deRavel, l’enfant du pays.

     

    Ciboure.

    La maison de Ravel.

     

    Le pays basque-Ciboure.



    Il faut faire une halte à l’église Saint Vincent, édifice du XVIème siècle, construit en "pagode" avec son clocher octogonal. Asseyez-vous au bord de la "vieille fontaine" construite en 1676, avant d’aller découvrir le gardien de la cité, le fort de Socoa ; cette énorme tour circulaire abrite aujourd’hui… un centre nautique.

     

    Ciboure.

     

    Et pour finir déjeuner chez Pantxua d'huitres et d'un bon poisson ...

     

     

     


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    Parfois nous partons passer quelques  jours au pays basque tout proche...

    Ainhoa est à environ 20 km au sud de Bayonne  et se trouve directement sur la frontière espagnole qui forme la frontière sud de la commune. 

    C'est une région montagneuse et boisée dans la partie sud-est, mais avec des terres agricoles dans le nord-ouest de la commune. 

    Ainhoa ​et Sare , avec les deux communes espagnoles de Zugarramurdi et Urdazubi , forment un territoire transfrontalier, appelé Xareta . 

    La rue principale

     

    la mairie

     

     

    L'église

     

    Ainhoa a été détruit pendant la guerre de Trente Ans (1618-1648), puis reconstruit. 

    Les seuls vestiges d'avant la destruction sont l'église et la Maison Machitorénéa

    Le village est aménagé comme une ville fortifiée, avec des maisons de labourdines datant du 17ème siècle et un fronton place libre contre le cimetière entourant l'église.

     

     

     

     

    le cimetière et les stèles  datant du 16è et 17 è siècles.

    Lors de la retraite de l'armée napoléonienne de l'Espagne en 1813, les villages basques ont été de nouveau soumis à des abus par les troupes britanniques et espagnoles confédérés.

     

     

    Le lavoir.

     

    Un bien (la fontaine Alhaxurruta ) est présent entre le village et la région Dancharia et a été remarqué par Napoléon III et Eugénie de Montijo lors d'une tournée ici le 23 av ril 1858.

    On dénombre environ 683 habitants mais en été il y a beaucoup de monde.

    Photos et texte Wikipédia.

     

    le pays basque : Aïnhoa.

     

     

     

     

     

     


  • Une visite s'impose à DAX, au parc du Sarrat...

    Réalisé au début du XIXème siècle par l'architecte René Guichemerre, le parc de Sarrat fut légué à la Ville Dax en 1988.
    1 245 arbres de 27 familles différentes sur plus de 3 ha, allées grandes et petites, fontaines, ruisseau, grande clairière... Evadez-vous dans ce parc qui offre un compromis intéressant entre jardin à la française et jardin paysager, plus naturaliste. Le cercle semble être la forme récurrente du parc: rond-point, 'ronde des hêtres', meules; sans oublier la fontaine du vivier circulaire aux eaux ocre.
    Depuis 1989, le Parc du Sarrat est inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. C’est un arboretum, un conservatoire naturel, ainsi qu’un centre d’initiation à l’environnement. Un jardinier vous parlera, lors de la visite guidée, de potager, de cultures biologiques et maraîchières.


    Eléments végétaux remarquables : Fougères arborescentes (Cyathia et Dicksonia antartica)

     

     

     

     

    Le parc du Sarrat - DAX.

     

     


  • Soorts-Hossegor, en gascon Sòrts e Òssagòr, est une commune française située dans le département des Landes en région Aquitaine. Elle est réputée pour ses spots de surf tels que la Gravière ainsi que pour son golf figurant parmi les plus beaux d'Europe.

    Ses habitants sont appelés les Hossegoriens.

     

     

    La station balnéaire d'Hossegor est lancée au début du xxe siècle, entre la bourgeoise et bordelaise Ville d'Hiver d'Arcachon au nord et l'aristocratique et internationale Biarritz au sud. Elle attire à ses débuts, quelques années avant l'instauration des congés payés en France, une clientèle aisée, principalement issue du monde littéraire et intellectuel parisien. L'un des premiers à en faire son lieu de villégiature est l'écrivain J.-H. Rosny jeune en 1903, suivi de Paul Margueritte en 1909. D'autres personnalités leur emboîtent le pas, telles que Charles Derennes en 1913, puis Maxime Leroy, Gaston Chérau, Pierre Benoit, Tristan Derème ou encore Léon Blum avant 1920. L'écrivain régionaliste Serge Barranx contribuera à créer le mythe d'une « école littéraire d'Hossegor » dans son ouvrage Nos Landes1, édité en 1927. Après la Seconde Guerre mondiale, la fréquentation sera principalement le fait de la bourgeoisie du grand Sud-Ouest et de Paris, alliant industriels, universitaires et médecins.

     

     

     

    À partir des années 1920, les programmes immobiliers accompagnent le développement touristique de la station, adoptant le style néobasque, dans une forme d'urbanisme qualifiée de « cité-parc ». Certains architectes de l'époque deviennent renommés et se lancent dans de nombreux projets architecturaux. Vers le début des années 30, les frères Gomez construisent la place des landais, premier aménagement du front de mer de la commune. Ce front de mer est très original pour l'époque : en effet, les deux architecte adeptes du style architectural neobasque construisent des villas alignées dites "en bande".

     

     

    Hossegor.

     

    Hossegor.

    Certains hôtels sont construits à cette époque, tels que Les Hortensias du Lac, hôtel de luxe quatre étoiles donnant une vue extraordinaire sur le lac marin, et le Mercedes, hôtel trois étoiles près du centre-ville avec vue sur le canal.

     

    Hossegor.

     

    Comme nous allons souvent nous promener au bord du canal, voici quelques photos prises à Hosssegor :

     

     

    Hossegor.

     La plage au bord du lac.

    Hossegor.

    En balade au bord du lac...

     

    Hossegor.

     Une petite pause.

    Hossegor.